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L’utilisation de la Force de réserve de la SANDF a été augmentée pour répondre aux engagements internes

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Lu il y a 4 minutes



Les soldats à temps partiel sud-africains ont fait plus que leur part pour que l’objectif annuel de la Force de réserve du ministère de la Défense (DoD) soit atteint et dépassé à mi-parcours de l’exercice 2025/26.

En présentant sa déclaration de politique budgétaire à moyen terme (MTBPS) et les documents justificatifs au Parlement le mercredi 12 novembre, le ministre des Finances Enoch Godongwana a noté dans le crédit 23 – Défense – que plus de deux millions de « jours-personnes de la Force de réserve » ont été réalisés. Les 2 123 141 jours-homme enregistrés représentent 125 269 de plus que le total de 1 997 873 budgétisé pour l’ensemble de l’exercice 2025/26.

Le dépassement des résultats, selon le crédit 23, était « principalement dû au recours accru au déploiement de membres de la Force de réserve plutôt que de personnel de la Force régulière pour compléter sa capacité de base, puisque ces membres ne sont rémunérés que lorsqu’ils sont appelés ».

Le DoD, ainsi que la SA National Defence Force (SANDF), le Department of Military Veterans (DMV), Armscor, Denel, le Château de Bonne-Espérance et le Reserve Force Service Council (RFSC) sont les principales responsabilités de la ministre Angie Motshekga et de ses adjoints – le général de division à la retraite Bantu Holomisa et Richard Mkhungo alias Hlophe.

Le recours accru à des soldats à temps partiel a permis au DoD/SANDF de respecter pleinement ses engagements internes, selon le vote du budget. Celles-ci sont répertoriées comme des missions de protection des frontières, de soutien à la police et de recherche et de sauvetage humanitaires (SAR). Cependant, la force de défense n’a atteint qu’un taux de conformité de 79 % en ce qui concerne le respect des exigences de la force en attente de la Communauté de développement de l’Afrique australe. « Cela était dû à des retards dans la réparation et l’entretien des navires et des avions. Les performances devraient s’améliorer au cours du second semestre », indique le vote 23.

Alors que les effectifs sur le terrain ont augmenté, étant donné que la majorité des unités de la Force de réserve font partie de la composante de réserve de l’armée sud-africaine, Godongwana ne peut pas faire état de performances excessives dans l’armée de l’air sud-africaine (SAAF) et la marine sud-africaine (SAN) – les autres services de combat de la force de défense nationale sud-africaine (SANDF).

La SAAF du lieutenant-général Wiseman Mbambo a enregistré 2 411 heures de vol au milieu de l’année – sans aucune ventilation, par exemple, des heures de formation et de transport VIP. Les « progrès lents » vers l’atteinte de l’objectif annuel de 12 000 heures sont attribués aux retards dans les réparations et la maintenance des avions. Cela ne semble pas être une source d’inquiétude puisque le crédit 23 indique que l’objectif est généralement atteint au quatrième trimestre de l’année.

Dans le même ordre d’idées, le SAN du vice-amiral Monde Lobese n’a passé « que 2 377 heures en mer au milieu de l’année », soit un peu plus de 29 % des 8 000 heures prévues et budgétisées pour l’exercice 2025/26. Là encore, les retards dans l’entretien et les réparations sont cités comme facteurs responsables, « les performances devant s’améliorer au cours du second semestre ».

Selon le vote 23, le quatrième trimestre verra se dérouler tous les exercices militaires conjoints, interministériels, interinstitutionnels et multinationaux.

Le budget de la défense s’élève à 59 072 190 rands pour 2025/26, soit une augmentation de 1 888 486 rands par rapport à l’allocation initiale.



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