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1 MIL ENQUÊTES DE CORRUPTION SUR LE COMITÉ DE MAISE DE MAIS DU PARLIAGE

Service Com'
Lu il y a 4 minutes


Le 16 mai, le Comité permanent du Parlement du Parlement (JSCD) peut s’attendre à être informé de ce que les enquêteurs experts ont trouvés lors de la mise à la corruption à 1 hôpital militaire.

L’établissement médical Thaba Tshwane, autrefois appelé un joyau de la Force de défense nationale de l’AS (SANDF) par un précédent coprésident JSCD, est géré par le SA Military Health Service (SAMHS), commandé par le chirurgien général, lieutenant-général (Dr) Ntshavheni Maphaha. Il a subi un programme de réparation et d’entretien (rampe) qui a apparemment connu 1 milliard de rands plus dépensé plus d’une décennie avec un résultat apparemment valable.

Après une visite de fin mars par des représentants des trois comités de surveillance de la défense du Parlement, 1 mil est à nouveau sous le microscope.

Les combattants de la liberté économique (EFF), le représentant public (NA), le représentant public, Carl Niehaus, est allé jusqu’à appeler le ministre des anciens combattants de la défense et les vétérans militaires Angie Motshekga, un menteur pour avoir donné de fausses informations en question parlementaire des réponses à l’hôpital. Il est allé jusqu’à ce que le comité d’éthique du Parlement avec une plainte officielle soutenue par un affidavit assermenté.

Le député du Conseil national des provinces (NCOP) Débarratic Alliance (DA) député (MP) Nicholas Gotsell a suivi une voie différente après avoir vu pour lui-même le triste état de 1 mil. Il a été le principal moteur derrière une décision JSCD d’aller de l’avant «un briefing crucial» par l’unité d’enquête spéciale (SIU) et la Direction for Priority Crime Investigation (DPCI), mieux connue sous le nom de Hawks, jusqu’au 16 mai.

Le changement de dates, a-t-il dit, faisait partie de son parti qui lutte pour des réponses sur «1 milliard de rands ont labouré dans 1 mil en fuite et en corruption qui ne se déroule pas».

« Il s’agit d’une percée dans la lutte pour la responsabilité. Il est grand temps que cette affaire, qui s’est issue pendant des années dans l’ombre du ministère de la Défense (DoD), soit finalement traînée à la lumière du Parlement », une déclaration lui dit nonobstant les « soi-disant rénovation, 1 mil reste une coquille enfichante ».

«Les théâtres d’urgence de l’hôpital, les unités de radiologie et la pharmacie sont toujours incomplets. C’est un symbole honteux des déchets et de la négligence criminelle.

«Un rapport médico-légal a impliqué des hauts responsables du DoD dans la corruption, mais personne n’a été tenu responsable. Aucune action disciplinaire. Pas d’arrestation. Pas de justice.

«Sur l’insistance du DA, cette question critique est désormais le deuxième élément du [upcoming] L’ordre du jour du terme afin que le Parlement puisse aller au fond de ce scandale de milliards de rands.

«Les Sud-Africains», a-t-il ajouté, «méritent également des réponses sur les raisons pour lesquelles les enquêtes sur les SIU et DPCI ont mis si longtemps pour donner des conséquences».

GotSell maintient «Il y a une tendance alarmante dans le DoD pour gaspiller et gaspiller des montants alléchants de l’argent des contribuables sans responsabilité». À titre d’exemple, il cite «l’opération de plusieurs milliards de rands SHANO SCANDAL» avec Cuba qui a vu des achats de médicaments Covid-19 irréguliers et des contrats illégaux.

« Les responsables de transformer 1 hôpital militaire d’un hôpital de sauvetage en monument à la corruption doivent enfin faire face à la loi », a conclu Gotsell.



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