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SA pour avoir des services de renseignement nationaux et étrangers séparés

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Lu il y a 3 minutes


Un projet de loi déconnecté par le président Cyril Ramaphosa verra l’appareil de sécurité de l’État de l’Afrique du Sud résider dans deux services gouvernementaux distincts.

Le projet de loi sur la modification des lois sur le renseignement général (GILAB), selon la présidence, est la base de réformes importantes des services de renseignement du pays et sera accompagnée d’une amélioration de la surveillance et de la responsabilité. Il, comme son nom l’indique, modifie trois actes adoptés depuis la démocratie – le National Strategic Intelligence Act de 1994, la loi de 2002 sur les services de renseignement et la loi de 1994 sur la surveillance des services de renseignement.

Les nouveaux départements sont le Foreign Intelligence Service (FIS) – responsable de la collecte de renseignements étrangers pour identifier les opportunités et les menaces pour la sécurité nationale, ainsi que l’agence de renseignement national (DIA) – responsable de la contre-intelligence et de la collecte de renseignements nationaux pour identifier les menaces de sécurité nationale.

Gilab rétablit en outre le SA National Academy of Intelligence (SANAI) et l’Institut de formation du renseignement pour les capacités de renseignement domestiques et étrangères, une déclaration l’a fait.

Les modifications, la déclaration se poursuit, constituent la mise en œuvre des recommandations du comité d’examen de haut niveau 2018 sur l’agence de sécurité de l’État (SSA) et de la Commission judiciaire d’enquête sur les allégations de capture, de corruption et de fraude de l’État (la Commission Zondo).

La loi répond aux préoccupations concernant l’interception en vrac par les services de renseignement du trafic Internet entrant ou sortant de l’Afrique du Sud, en introduisant de nouvelles mesures, notamment l’autorisation des services de renseignement ainsi que les examens des tribunaux.

Il prévoit également que l’administration, la gestion financière et les dépenses des entités des services de renseignement se trouvent dans le cadre de surveillance du comité conjoint du renseignement (JSCI) – un comité parlementaire multipartite qui, entre autres, traite les plaintes publiques concernant les services de renseignement et surveille les finances et les opérations des services.

Les modifications nouvellement promulguées fournissent une plus grande autonomie à l’inspecteur général du renseignement et au Comité national de coordination du renseignement (NICOC) dans la prise de décisions administratives et fonctionnelles.



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