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La contrebande transfrontalière et la contrebande de drogue en février

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Lu il y a 4 minutes


La première ligne de protection des frontières de l’Afrique du Sud sous la forme de 15 compagnies de soldats d’infanterie principalement déployées sur 4 500 km de frontière terrestre a eu un février plus silencieux que janvier en ce qui concerne les freins sur la contrebande et la contrebande de drogue.

Les statistiques fournies par la Division des opérations conjointes de la SA National Defence Force (SANDF) et publiées par la Direction Corporate Communication (DCC) montrent que la contrebande de quatre pays voisins (Mozambique, Lesotho, le Zimbabwe et Eswatini) évalués à R295 485 ont été confisqués par les soldats déployés dans l’opération de protection frontalière Corona en février.

En janvier, les soldats ont empêché les contrebandiers de contrebande du Botswana, du Lesotho, du Mozambique et du Zimbabwe d’amener les cigarettes, les cosmétiques, les chaussures de vêtements, les liqueurs et les produits pharmaceutiques d’une valeur de plus de R2,3 millions en Afrique du Sud illégalement.

Les Mozambicains, ainsi que le Batswana, ont été empêchés d’importer illégalement des drogues d’une valeur de moins de R160 000 en février. Les confiscations médicamenteuses du mois dernier ont été considérablement en baisse sur les 2,27 millions de rands enregistrés en janvier.

Deux cent quatre-vingt-dix-huit immigrants illégaux ou, pour utiliser la terminologie préférée du gouvernement, des «personnes sans papiers», ont été interceptées et remises à la police et au Département des affaires intérieures (DHA) pour le traitement et l’expulsion en février. Cent huit Zimbabwéens étaient les plus élevés de tous les pays, suivis du Mozambique (103), du Lesotho (71) avec Eswatini / Mozambique (dans le KwaZulu-Natal) (10) et le Botswana (six) constituant le total.

Comme c’est devenu la norme, le Lesotho enclavé est en tête des planches lorsqu’il s’agit de permettre le bétail sur le pâturage sud-africain. La frontière du Royaume de Mountain avec l’État libre a vu des soldats en train de mettre en charge les conditions conjointes des «petits bétail» à la valeur de R301 200. Contre ce «bétail» d’une valeur de 80 000 rands du Mozambique s’est avéré illégalement en Afrique du Sud.

Huit criminels ont été appréhendés par des soldats et remis à la police en février avec un nombre inconnu de véhicules évalués à R653 488 empêchés de quitter illégalement l’Afrique du Sud.

Le SANDF a également signalé pour 8 000 rands d’armes confisquées en février.

Les estimations des dépenses nationales (ENES), approuvées par le directeur général du Trésor national, Duncan Pieterse, avant la présentation du budget national de mercredi, ont noté que le ministère de la Défense «continuera de prioriser l’acquisition de véhicules et de technologies avancées qui servent de multiplicateur de force pour améliorer la protection des frontières et prévenir les activités illégales».

L’INES a déclaré que «la sécurité des frontières reste une priorité pour la Force nationale de défense sud-africaine. En conséquence, sur le [three year Medium Term Expenditure Framework] Période du MTEF, le ministère prévoit de continuer à déployer 15 sous-unités vers la terre pour patrouiller 4 471 km de frontières terrestres d’Afrique du Sud avec le Botswana, Eswatini, Lesotho, le Mozambique, la Namibie et le Zimbabwe.



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