Un représentant public du Conseil national des provinces (NCOP) du Congrès national africain (ANC) a été informé, dans le cadre d’une réponse à une question parlementaire, qu’un « financement adéquat » devait être alloué à la Force de défense nationale sud-africaine (SANDF) pour renouveler son mandat. équipement de mission principale (PME).
Phiroene Phala, qui siège au Comité spécial du NCOP sur la sécurité et la justice (SCSJ), souhaitait obtenir des détails sur la capacité, l’équipement et le financement de l’armée sud-africaine auprès de la ministre de la Défense et des anciens combattants, Angie Motshekga. Sa question portait spécifiquement sur la protection des frontières, la protection des infrastructures critiques et l’aide à la police pour maintenir l’ordre.
La réponse ministérielle commence par affirmer que la SANDF est en mesure de remplir ses engagements ordonnés avec ses ressources actuelles limitées. Les ressources disponibles en équipement et en personnel, poursuit-on, sont déployées pour protéger les infrastructures critiques et, si nécessaire, pour soutenir d’autres ministères gouvernementaux. Il en va de même pour l’assistance au SA Police Service (SAPS) du ministre Senzo Mchunu.
La réponse concernant la protection des frontières indique que la SANDF « a reçu l’ordre de déployer 15 compagnies avec son allocation actuelle », ajoutant que le nombre actuel de soldats « doit être conservé et non réduit ».
Concernant les défis identifiés et les solutions proposées, Motshekga a déclaré qu’« un financement adéquat doit être alloué au renouvellement des équipements et technologies de mission de premier ordre nécessaires à la formation et à la conduite des opérations conformément aux exigences de la situation sécuritaire en évolution dans le pays et dans le monde ».