Le vol, entre autres, de grenades assourdissantes dans une base du SAPS (Service de police sud-africain) à Eerste Rivier fait partie, selon l’Alliance démocratique (DA), d’une série d’armes prétendument stockées en toute sécurité « qui se retrouvent dans les rues ».
Cette déclaration, faite à la suite du vol d’un lanceur de gaz ainsi que de plusieurs cartouches de munitions non létales et de grenades assourdissantes, par Thomas Walters, porte-parole du procureur de la République pour la sécurité communautaire et la surveillance de la police du Cap-Occidental, met en évidence « une crise de sécurité croissante dans les installations de la SAPS ». Il maintient qu’il ne s’agit pas « simplement d’un vol » et pointe du doigt le vol de 15 armes à feu en janvier dans un casier de stockage de preuves au commissariat de police de Mitchells Plain.
« Ce même mois, les questions parlementaires du DA ont révélé que 1 725 armes à feu SAPS officiellement délivrées ont été volées entre avril 2021 et juillet 2023, soit une moyenne de 61 par mois », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il était nécessaire de repenser le maintien de l’ordre dans la province gouvernée par le DA.
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