
Prévu depuis la loi Climat et résilience de 2021, l’affichage environnemental – et volontaire – du textile a enfin fait son apparition, le 1er octobre.
Également appelé éco-score, celui-ci se présente sous la forme d’un nombre, présent sur l’étiquetage du vêtement ou le site internet de la marque. Il est plus ou moins élevé selon le degré de pollution de l’environnement du vêtement. Un score d’apparence simple, mais en réalité multifactoriel : il dépend des émissions de gaz à effet de serre, des atteintes à la biodiversité, de la consommation d’eau et d’autres ressources naturelles, des effets des pollutions des milieux et des environnements, et de la « durabilité ». Cette dernière varie selon la largeur de gamme – nombre de références commercialisées par la marque – et selon l’incitation à la réparation dudit vêtement.
L’outil reste limité par son caractère volontaire, bien que les marques, distributeurs et producteurs qui ne l’appliquent pas, pourraient faire face à un risque commercial.
Vous lisez un article de L’Usine Nouvelle 3748 – Novembre 2025


