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Les radios tiennent le coup au G20

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Lu il y a 5 minutes



Le premier sommet des dirigeants du G20 en Afrique du Sud a été non seulement un test pour la diplomatie et la sécurité, mais aussi un terrain d’essai pour l’infrastructure de communications d’urgence du pays. Alors que l’attention mondiale se concentrait sur les cortèges automobiles, les manifestations et les négociations de haut niveau, les agents de première ligne dépendaient de leurs réseaux radio pour maintenir les opérations sous une tension extraordinaire.

Les agences de sécurité publique, depuis les services de police métropolitains jusqu’aux équipes médicales d’urgence, se sont appuyées sur les radios TETRA et haut débit construites par Hytera, déjà intégrées dans leurs opérations quotidiennes. Ces systèmes ont assuré une communication voix et données ininterrompue entre les centres de transport, les zones à risque de protestation et les espaces publics bondés où les délais de réponse diminuent lors de grands événements.

L’analyste de la sécurité Thabo Makwakwa a noté que l’ampleur du G20 exerçait une pression sans précédent sur les agences de première ligne, les obligeant à équilibrer leurs tâches de routine avec les exigences liées au sommet. Il a ajouté que la fiabilité de leurs systèmes de communication leur permettait de fonctionner sans risque supplémentaire de pannes techniques.

Un commandant de section au sein de la division opérationnelle et de soutien de NatJoints, qui a requis l’anonymat pour des raisons de sécurité, a déclaré : « Le G20 a imposé des exigences extraordinaires à nos unités de première ligne. Chaque seconde comptait, et une communication transparente faisait la différence entre l’ordre et la perturbation. Nos équipes devaient gérer le maintien de l’ordre de routine tout en absorbant les pressions uniques du sommet, et la fiabilité des réseaux radio nous a donné l’assurance que la coordination ne faiblirait pas. »

« Des événements mondiaux de cette ampleur révèlent toutes les faiblesses des opérations de première ligne », a déclaré Mark Zheng, directeur général d’Hytera Southern Africa. « Lorsque quelques secondes comptent, une communication fiable n’est pas un luxe : c’est l’épine dorsale de la coordination et de la sécurité publique. Nous sommes fiers que nos technologies aient aidé les agences sud-africaines à répondre à leurs attentes sous un contrôle international. »

Hytera est présente en Afrique du Sud depuis plus de 15 ans. Ses radios sont utilisées quotidiennement par les forces de l’ordre municipales, les équipes EMS et les unités spécialisées de conservation et de lutte contre le braconnage. Cette adoption généralisée a intégré les systèmes Hytera au dispositif de sécurité quotidien du pays – un fait souligné lors du G20, où même les opérations de routine ont été soumises à des contraintes inhabituelles.

À l’échelle mondiale, Hytera Communications Corporation Limited s’est bâtie une réputation en trois décennies en tant que fournisseur leader de technologies de communications critiques. Son portefeuille couvre les radios bidirectionnelles, les solutions convergentes PMR et LTE, les communications à déploiement rapide, les caméras portées sur le corps et les systèmes de salle de contrôle. La société accompagne des utilisateurs dans plus de 120 pays, notamment dans les secteurs de la défense, de la police et des services d’urgence.

Même si le sommet s’est déroulé sans incident majeur, les experts affirment qu’il a servi de test de résistance pratique pour le réseau de communication d’urgence de l’Afrique du Sud. La capacité des équipes de première ligne à soutenir les opérations via des plates-formes radio fiables démontre la résilience des réseaux existants face à une demande extraordinaire, l’intégration des technologies commerciales dans les cadres de sécurité nationale et le rôle discret mais essentiel des communications dans la réalisation d’objectifs de défense et de sécurité plus larges.

Alors que l’Afrique du Sud réfléchit aux leçons logistiques et opérationnelles de l’accueil des dirigeants mondiaux, la communication d’urgence, souvent négligée, est apparue comme l’un des éléments essentiels qui ont assuré le bon déroulement du sommet.



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