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détecter fuites de données, accès compromis et usurpations avant l’incident

Service Com'
Lu il y a 8 minutes


Entre ce qui se passe sur Internet et ce qui se passe dans les espaces pirates, il y a souvent un décalage : quand l’information devient “publique”, il est parfois déjà trop tard. C’est précisément là que se positionne le Service de Veille ZATAZ (SVZ) : une veille proactive, personnalisée, pensée pour détecter en amont les signaux qui comptent (fuites, reventes, usurpations, accès compromis), avant qu’ils ne se transforment en incident, en crise… ou en dossier « urgentissime » du lundi matin.

Une veille qui ne se contente pas d’attendre que « ça sorte »

Le SVZ est un service proactif et personnalisable de surveillance de milliers d’espaces fréquentés par les cybercriminels (web, dark web, canaux communautaires, etc.). L’idée n’est pas de vous dire « vos données sont peut-être quelque part« , mais d’aller les chercher là où elles circulent, au plus près des sources. La démarche n’est pas de se limiter à ce qui est déjà indexé ou largement diffusé, mais de mener des recherches ciblées dans de très nombreux espaces afin que vous puissiez agir vite et bien

Résultat attendu côté client : moins de surprise, plus de temps de réaction.

Pourquoi c’est critique (et pourquoi ça coûte toujours plus cher après)

Une veille CTI n’est pas un « nice to have« . Un truc « agréable à avoir« , autrement dit non indispensable. C’est au contraire un accélérateur de décision : savoir quand et comment vous êtes ciblé, quelles données circulent, quels accès sont en vente, et sur quels canaux.

Et financièrement, l’arbitrage est rarement en faveur de l’inaction :

La Cour des comptes (en s’appuyant sur une enquête ANSSI/CLUSIF de juin 2024) rapporte un coût moyen d’une cyberattaque de 466 000 € pour les TPE/PME, 13 M€ pour les ETI et 135 M€ pour les grandes entreprises (ordre de grandeur, moyenne).

À l’échelle internationale, IBM (Cost of a Data Breach Report 2025) indique un coût moyen mondial d’une violation de données à 4,44 M$.

Face à ces montants, la veille sert surtout à éviter deux scénarios ruineux : la découverte tardive (quand la donnée a déjà été copiée/revendue) et la réaction à l’aveugle (quand on ne sait pas ce qui circule, où, et depuis quand).

L’apport concret du SVZ : des signaux exploitables, pas du bruit

Le service se structure autour d’un principe simple : vous définissez ce qui vous concerne, ZATAZ surveille et recherche, puis vous êtes alerté. Un contrat clair, précis, respectant au plus haut point la loi, le RGPD et votre vie privée. Sur la partie « capacité », ZATAZ a plus de 30 ans d’expérience dans le sujet. Aujourd’hui, plusieurs milliers d’espaces pirates sont sous surveillance. Au 1er décembre 2025, c’est plus de 190 000 alertes envoyés aux partenaires. Ce type d’indicateurs ne remplace pas la qualité d’analyse, mais donne une idée de l’historique opérationnel, et esperons le, notre efficacité sur le sujet. Vous recevez un rapport qui analyse se dont vous avez besoin pour vous défendre, vous protéger, contrer les pirates informatiques.

Une expérience longue (et utile quand il faut qualifier vite)

ZATAZ est un projet comme né en 1989, avec une activité de diffusion et d’alertes via le site ZATAZ.com depuis 1998. Plusieurs décennies d’expérience dans l’enquête et la sensibilisation cyber. En veille CTI, l’expérience sert à une chose très concrète : qualifier. Distinguer une « annonce » d’un vrai leak, reconnaître un mode opératoire, relier des signaux faibles, éviter les faux positifs coûteux (et les faux négatifs, encore plus chers), environnementer des « pirates », leurs motivations, Etc.

Des organisations exigeantes s’y intéressent (et des références publiques existent)

Le service veille zataz a un positionnement « pro » et nous ne sommes pas peu fier d’avoir des partenaires qui sont là pour aider la population, des entreprises : plusieurs CSIRT, des Hôpitaux, des cabinets d’avocats, des média comme le journal Le Monde et de nombreux particuliers conscients que protéger sa famille et sa vie privée commence par un veille. A noter que le Service Veille et aussi référencé par France Num. Une citation du Huffington Post (avril 2025) présente d’ailleurs notre service comme une source très à jour sur les piratages de grande ampleur.

Le “coût dérisoire” : ici, ce n’est pas un slogan, c’est un chiffre

Le SVZ propose des formules grand public visibles, par exemple une recherche de 24 h : 5,00 €. A noter que pour l’arrivée de 2026, une veille de 24 heures… dure jusqu’au 1er janvier, une semaine :). 1 an (particulier) de veille : 24,95 €, soit « 0,06 € par jour ». Et pour les fêtes de fin d’année (jusqu’au 1er janvier), 1 an = 2. Il est possible de s’abonner à vie. Ici, le cadeau de fin d’année est simple. Un abonnement à vie est aussi disponible. Ce dernier est livré avec le dernier magazine en date écrit par Damien Bancal, fondateur de zataz pour « Que Choisir », le Pratique sur la protection des données personnelles.

Bref, dit autrement : on parle d’un coût annuel inférieur à beaucoup d’abonnements « confort »… pour un service qui vise à réduire l’impact d’événements dont les conséquences se comptent, elles, en centaines de milliers d’euros (voire plus).

Pour qui : de l’entreprise au particulier (sans changer d’exigence)

Le service annonce couvre particuliers, associations, entreprises et collectivités, avec une offre « 100 % française » et « sans AUCUNE sous-traitance ». Cela répond à une réalité : la fuite d’identifiants d’un particulier peut mener à une usurpation, la fuite d’accès d’une PME peut ouvrir la porte à un rançongiciel, et un acteur santé/juridique se retrouve vite confronté à des impacts réputationnels et réglementaires.

En pratique, qu’est-ce que le SVZ change ?

Avant : vous découvrez une fuite via un client, un journaliste, un forum, ou… un attaquant qui vous contacte.

Après : vous êtes alerté plus tôt, avec de quoi confirmer, prioriser (donnée critique vs bruit), et enclencher les actions (rotation d’identifiants, investigation, communication, juridique, etc.).

C’est une logique simple : la cybersécurité n’est pas qu’un sujet de protection. C’est aussi un sujet d’information. Et l’information utile, c’est celle qui arrive à temps.



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