
La première semaine de décembre a été chargée pour la division des services juridiques du ministère sud-africain de la Défense (DoD), allant de la démolition aux opérations de cordage rapide et au nettoyage des maisons jusqu’à la préparation au combat et à l’entraînement à la survie.
La partie pratique a vu des officiers de justice en tenue de travail commencer à l’extérieur d’un immeuble à plusieurs étages à Thaba Tshwane le 2 décembre, peaufinant leurs compétences en cordage rapide avant de se diriger vers le nord-est, vers la zone militaire de Wallmannsthal, pour une formation plus pratique aux compétences militaires afin d’augmenter leurs connaissances juridiques. Sept praticiens du droit de la défense inscrits dans ce que l’on appelle le cours de leadership exécutif dispensé par Thando Ramasimong de Defense Corporate Communication (DCC) ont assumé des tâches militaires spécialisées et à haut risque. Parmi celles-ci figuraient le nettoyage des bâtiments et la démolition de structures.
La formation pratique aide à développer un leadership informé et responsable, favorise une conduite sûre et responsable lors d’opérations exigeantes et met en évidence l’engagement du DoD et de la Force de défense nationale sud-africaine (SANDF) à maintenir le professionnalisme dans ses environnements opérationnels, selon le membre du personnel de DCC.
Au menu également du DLS plus large cette semaine, il y avait la remise de certificats pour ceux qui ont commencé – et terminé – l’exercice Mafadi. Le Drakensberg, dans le KwaZulu-Natal, était le site hivernal de l’exercice de préparation au combat et de survie, qui en est maintenant à sa 10e année. Bien que le nombre de praticiens du droit de la défense qui ont obtenu la note ne soit pas indiqué par le personnel du CDC, l’exercice a en partie servi de qualification pour le cours de leadership exécutif et le cours de conduite de combat interarmées.
S’exprimant lors de la remise du certificat de Mafadi le 3 décembre, l’adjudant général de la SANDF, le général de division Eric Mnisi, a déclaré que l’exercice avait montré que les praticiens du droit militaire ne sont pas seulement des conseillers : ils contribuent également de manière essentielle au succès de la mission.
« Votre capacité à interpréter la loi dans des environnements exigeants garantit que chaque opération respecte les valeurs et les normes que nous défendons en tant que SANDF. Aujourd’hui, vous avez prouvé votre préparation, votre résilience et votre engagement à servir avec honneur. »
Avec la réussite du programme, les participants sont désormais reconnus comme étant prêts au combat par la Division des services juridiques de la défense.


