
Carrefour a finalement renoncé à commercialiser la marque de Redhouane Tebaïli proposée dans une coque en rPET.
E.Leclerc avait déjà essuyé un feu nourri de critiques en 2020. En novembre 2025, la commercialisation d’œufs écalés emballés défraie encore une fois la chronique des réseaux sociaux. Avant de faire marche arrière face au tollé, Carrefour a référencé la marque Coqotte imaginée par Redhouane Tebaïli. Avec deux œufs vendus à 2,7 euros dans une coque thermoformée en polyéthylène téréphtalate recyclé (rPET) sous atmosphère protectrice (MAP), le patron de Seamfood, implanté au Petit-Quevilly (Seine-Maritime), souhaite proposer « un snack simple, naturel, non transformé » pour les « gens pressés ». Le mode d’emploi ? « Achète. Ouvre. Mange. » Afin d’éviter le gaspillage suite au désengagement de Carrefour alors que la livraison était prête, Redhouane Tebaïli indique que Coqotte est tout de même présent dans quatre magasins. Lesquels ? Aux consommateurs de les trouver afin d’éviter le « harcèlement » des directeurs de points de vente… Dans un post LinkedIn dépité, Redhouane Tebaïli raconte comment « Coqotte est mort dans l’œuf » chez Carrefour face à une levée de boucliers sur LinkedIn : « je suis juste un entrepreneur issu des quartiers, ancien obèse, intolérant au gluten, qui en avait marre de ne trouver que du sucré ou de l’ultra-transformé ».


