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ZATAZ » Nemo Protocol victime d’un piratage à 2 Millions d’euros

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La plateforme DeFi Nemo Protocol, bâtie sur Sui, a perdu 2 millions d’euros après une attaque. L’incident interroge sur la frontière entre maintenance technique et gestion de crise.Rejoignez-nous sur les réseaux sociaux Aucun spam – Désinscription en un clic – Vie privée respectée   Nemo Protocol, service DeFi spécialisé dans la tokenisation du rendement sur la blockchain Sui, a été victime d’un piratage entraînant la perte d’environ 2,4 millions de dollars US (2,24 millions €) en stablecoins. Selon PeckShield, les fonds ont été déplacés depuis Arbitrum avant d’être bridgés vers Ethereum. L’équipe de Nemo, qui annonçait quelques heures plus tôt une maintenance programmée, a confirmé l’attaque et suspendu tous les smart contracts afin de contenir les risques. Les coffres (vaults) resteraient intacts, mais l’origine technique de la brèche demeure inconnue. Un piratage confirmé au cœur de la nuit L’alerte est venue de PeckShield. L’entreprise d’analyse blockchain a identifié un retrait suspect de 2,4 M$ (≈ 2,24 M€) en USDC. Les actifs ont été extraits du réseau Arbitrum avant d’être transférés vers Ethereum via un bridge. Dans la nuit de dimanche à lundi, à 3 h 27 heure de la côte Est américaine, Nemo Protocol a confirmé l’incident dans son canal Telegram officiel. L’annonce a surpris, car quelques heures plus tôt les développeurs annonçaient une simple opération de maintenance planifiée pour deux jours. La coïncidence soulève des interrogations : s’agissait-il d’une dissimulation temporaire du piratage ou d’un chevauchement imprévu entre attaque et maintenance ? ⏳ Jusqu’où tolérerez-vous d’être piraté ?Des smart contracts figés pour limiter la contagionUn silence qui entretient le doute

La plateforme DeFi Nemo Protocol, bâtie sur Sui, a perdu 2 millions d’euros après une attaque. L’incident interroge sur la frontière entre maintenance technique et gestion de crise.

CONTEXTE

  • Date de l’incident : 10 septembre 2025

  • Montant dérobé : 2,4 millions de dollars (2,24 M€)

  • Réseaux impliqués : Arbitrum et Ethereum

  • Statut : smart contracts suspendus, coffres non touchés

Un piratage confirmé au cœur de la nuit

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Des smart contracts figés pour limiter la contagion

Selon le communiqué de Nemo, l’attaque a ciblé un Market Pool. En réponse, toutes les activités liées aux smart contracts ont été gelées. L’équipe a précisé que les coffres de la plateforme n’étaient pas affectés, mais a reconnu ne pas connaître encore l’origine du piratage. Cette mesure radicale vise à éviter tout effet domino pouvant impacter d’autres compartiments du protocole. Nemo, présenté comme une brique d’infrastructure pour la gestion et le commerce de rendement sur Sui, permet aux utilisateurs de tokeniser leurs revenus, de couvrir des positions ou de prendre effet de levier. Une telle suspension, bien que nécessaire, met en lumière la dépendance critique des utilisateurs à la capacité des développeurs de verrouiller rapidement le système.

Un silence qui entretient le doute

À ce stade, la communication reste minimale. Nemo a promis davantage de détails dès que possible, mais n’a pas répondu aux sollicitations de The Block. Cette absence d’explications nourrit un flou autour de la chronologie exacte et de la nature du vecteur d’attaque. Dans un écosystème où la confiance repose autant sur le code que sur la transparence des équipes, chaque heure sans information précise fragilise la crédibilité du protocole. Le cas Nemo illustre ainsi une tension récurrente : comment concilier impératif de sécurité opérationnelle, besoin de discrétion lors d’une enquête technique et exigence de transparence envers une communauté qui confie ses fonds ?

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