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Les capacités de défense de l’Afrique du Sud s’éroderant dans la non-pertinence – Hattingh

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Lu il y a 4 minutes


L’examen du Plan annuel de performance annuel (APP) du Département de la Défense du 2025/26 confirme, selon un parlementaire de l’alliance démocratique (DA), «ce qui a longtemps été clair» – que la Force de défense nationale de l’AS (SANDF) est en baisse sérieuse et les risques.

Chris Hattingh, qui dirige l’effort de surveillance de la défense de la défense de trois personnes au Parlement, a publié une déclaration fortement rédigée après la présentation du mois dernier au comité du portefeuille sur la défense et les anciens combattants militaires (PCDMV) par le ministère de la Défense (DoD). Sa déclaration est à peu près la même que celle de la présidente de PCDMV, Dakota Legoete, qui a mis en garde contre une baisse continue des capacités et des performances de Sandf après avoir été assis à la présentation du DoD sur les plans de performance stratégiques et annuels.

En bref, Hattingh a le Sandf est «en déclin, paralysé par des politiques externes et une mauvaise gestion». Sans action immédiate, il avertit qu’il risque de s’effondrer qui peut être posé à la porte des échecs opérationnels et une crise budgétaire croissante.

«Malgré des promesses répétées, l’Afrique du Sud n’a toujours pas de politique de défense financée et financée. La revue de la défense 2015, destinée à guider le renouvellement de SandF, n’a jamais été mise en œuvre. Elle est maintenant un symbole de l’échec institutionnel. Sans alternative, ce document dépassé reste le seul point de référence pour notre force de défense», indique une déclaration en partie, la poursuite «l’action ne peut pas être retardée».

«Nous exigeons qu’un nouveau processus d’examen de la défense soit immédiatement.

De l’application 2025/26, Hattingh souligne qu’il ne contient aucun calendrier clair. De plus, les références à un nouveau livre blanc sont «vagues, sans urgence ni progrès visibles». Selon lui, cela laisse le sandf «dériver sans direction».

«Personne ne peut clairement définir ses besoins de taille, de but ou d’équipement. La structure de la force est gonflée, avec plus de 60% du budget dépensé pour le personnel, laissant la formation, l’entretien et la modernisation largement ignorés pendant plus d’une décennie.

« Ce n’est pas durable. Le déficit budgétaire, déjà à 43% basé sur des structures obsolètes, continue de croître. Il n’y a pas de leadership clair, pas de plan avant le cabinet et aucune volonté politique de fixer la situation.

Hattingh a les conséquences déjà visibles. «Les échecs dans les opérations, tels que ceux de la République démocratique du Congo (RDC), ne sont pas des incidents isolés. Ils sont le résultat naturel d’une force dégradée et sous-soutien».

Le Sandf, selon lui, est à un moment critique. «Sans une nouvelle stratégie, des choix politiques durs et un réel leadership, la capacité de défense de l’Afrique du Sud continuera de s’éroder jusqu’à ce qu’elle ne devienne pas pertinente.»



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