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Le conseiller de postmasburg claque un triste état de logement Sandf

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Lu il y a 5 minutes


Les «maisons du parc à roulottes» dans le nord du Cap-Cap de Postmasburg, apparemment déclarées dangereuses il y a plus de 10 ans, ont soulevé la colère d’un conseiller local qui souhaite que la Force nationale de défense de l’AS (SANDF) «s’occupe de l’hébergement militaire abandonné».

Postmasburg fait partie de la municipalité locale de Tsantsabane qui comprend le centre de formation de combat de l’armée SA (CTC) à Lohathla à 34 km. Le CTC de 158 000 hectares hôte, entre autres, l’exercice annuel de la capacité de l’armée et de la préparation à Vuk’uhlome, qui voit un afflux de troupes soutenues par des unités de maintenance, logistique et médicale. Le personnel de ces unités est hébergé à la fois au CTC et dans les maisons et les «maisons de parc temporaire» déclarées inhabitables il y a plus de dix ans à Postmasburg, selon le conseiller James Boucher.

Son malheur sur l’hébergement dans la banlieue de Postdene de la ville a vu une visite de surveillance plus tôt ce mois-ci, confirme que l’hébergement temporaire était toujours en place. Boucher soutient qu’il est du devoir du Sandf de retirer les maisons du parc de roulottes et de fournir un hébergement alternatif à son personnel. Cela a été donné plus de poids par le biais d’une question parlementaire dès le dernier octobre dernier. L’interrogateur Carl Niehaus (Freedom Fighters) voulait savoir de la défense et du ministre des anciens combattants militaires Angie Motshekga si un dossier d’enquête a été ouvert après deux décès dans l’hébergement militaire temporaire en mai de l’année dernière, apparemment causé par des défauts électriques. On lui a dit «oui» et que c’est en cours. Le premier incendie a détruit une maison de parc inoccupé tandis que la seconde a coûté la vie à l’épouse et à la fille d’un sergent, stationné à Lohatlha.

Boucher soutient que les Forces de défense nationales n’ont «rien fait pour maintenir et sécuriser ses maisons en briques délabrées qui sont encore en train de prendre des habitants». Les maisons en briques vides sont vandalisées et dépouillées, avec des fenêtres et des barres de cambrioleurs cassées, des plafonds manquants et des placards et des robinets dépouillés. Les résidents, selon lui, dans un communiqué, ont trop peur de quitter leurs maisons «par crainte qu’ils soient vidés par des vagabonds et des toxicomanes, qui utilisent les maisons vacantes».

« Les terrains sont également non tenus, avec des genoux à l’herbe. La clôture autour de la propriété est cassée et la porte d’entrée est suspendue à une charnière », a ajouté Boucher.

De plus, il met le blâme pour la non-maintenance des «ERF vides les baux Sandf du ministère des Travaux publics et des infrastructures (DPWI)» sur le SANDF «About tacitement la responsabilité», créant une horreur.

L’affaire a été renvoyée à Ofentse Mokae, membre du DA du comité restreint sur la sécurité et la justice, pour entreprendre le ministre de la Défense lors de la prochaine session de questions et réponses. Le Sandf doit récupérer ses propriétés et sa place en tant que fierté de Postmasburg, a conclu Boucher.

La formation des travaux du ministère de la Défense (DoD), avec des unités dans chacune des neuf provinces d’Afrique du Sud, est chargée de l’entretien de la construction et de l’entretien des installations où le Sandf est l’occupant. La formation a ses racines dans un régiment de travaux de l’armée SA établie par l’ancien chef de la Force Landward Solly Shoke, plus tard pour devenir chef de Sandf à la suite de DPWI n’offrant pas un entretien satisfaisant aux bâtiments et aux installations utilisés par l’armée de l’air, l’armée, la santé militaire et la marine.



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