Le terrorisme reste une menace mondiale omniprésente, dont les manifestations complexes et les conséquences considérables nécessitent une réponse multiforme. Un rapport de l’Autorité de régulation du secteur de la sécurité privée (PSiRA), intitulé « Combattre un ennemi commun : le rôle de la sécurité privée dans la lutte contre le terrorisme » se penche sur les contributions critiques potentielles du secteur de la sécurité privée dans les efforts de lutte contre le terrorisme ; évaluer le rôle des acteurs de la sécurité privée dans l’atténuation du terrorisme tout en soulignant leur potentiel et leurs limites.
Le rapport affirme que le terrorisme demeure un défi mondial, affirmant qu’« aucun pays n’est à l’abri du terrorisme ». En Afrique du Sud, cette menace est soulignée par des exemples tels que les arrestations en 2004 d’individus ayant des liens présumés avec Al-Qaïda et l’alerte de l’ambassade américaine de 2022 avertissant d’attaques potentielles à Sandton et l’insurrection islamique présente dans le nord du Mozambique. Ces exemples illustrent la vulnérabilité de l’Afrique du Sud en tant que cible potentielle et plaque tournante logistique pour les activités extrémistes. Cependant, malgré la menace reconnue, le secteur de la sécurité privée en Afrique du Sud joue un rôle de soutien limité dans la lutte contre le terrorisme, soutenant principalement les institutions étatiques plutôt que de prendre une position de leader.
« Même si le secteur de la sécurité privée fait partie de la chaîne permettant de contrer toute menace terroriste, il ne joue qu’un rôle de soutien. Dans la plupart des pays, y compris l’Afrique du Sud, les acteurs de la sécurité privée ne sont pas formés pour lutter contre le terrorisme. »
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