La ministre de la Défense et des Anciens Combattants, Angie Motshekga, bien qu’elle ne soit pas 100 % diligente lorsqu’il s’agit de répondre aux questions parlementaires, s’en sort mieux que certains de ses collègues du septième gouvernement d’unité nationale (GNU) d’Afrique du Sud.
Depuis qu’elle a prêté serment en tant que choix du président Cyril Ramaphosa pour les portefeuilles de la défense et des anciens combattants le 3 juillet de l’année dernière, Motshekga a répondu aux neuf questions orales qui lui ont été posées par des représentants publics de l’Assemblée nationale (AN) ou du Conseil national des provinces (NCOP).
En ce qui concerne les réponses écrites, il est meilleur que, par exemple, le ministre de la Police Senzo Mchunu avec 42 questions sans réponse sur 194 (21%), le ministère de la Défense (DoD), le ministère des anciens combattants (DMV) et la Force de défense nationale sud-africaine. (SANDF) les cadres supérieurs et les officiers n’ont pas fourni de réponses à 18 des 122 questions.
Les réponses des autres ministres du groupe Justice, Prévention du crime et Sécurité (JCPS) sont généralement dans la même veine, seul Pieter Groenewald des Services correctionnels ayant une réponse à 100 % aux questions orales et écrites.
Le ministre de l’Intérieur, Leon Schreiber, a répondu aux huit questions orales qui lui ont été posées et a répondu par écrit à 24 des 114 questions – soit seulement 22 % – avec le ministre de la Justice et du Développement constitutionnel, Mmamoloko Kubayi, parachuté des établissements humains à la suite de l’attentat de Thembi Simelane. scandale de corruption. À eux deux, les deux hommes ont répondu aux huit questions orales posées et à 14 des 74 – 19 % – des questions écrites.
La performance des réponses aux questions parlementaires est contenue dans une communication du vice-président Paul Mashatile, chef des affaires gouvernementales au Parlement, rendue publique le 27 décembre.
Au total, 2 477 questions ont été posées aux ministres du Cabinet, dont 259 sont restées sans réponse. Conformément aux règles et réglementations parlementaires, les réponses écrites sont censées recevoir une réponse dans les 10 jours ouvrables suivant leur présentation.