Armscor, selon la ministre de la Défense et des Anciens Combattants Angie Motshekga, a lancé des « engagements tripartites pour arrêter un nouveau déclin » en achevant la construction du nouveau navire hydrographique de la SA Navy (SAN).
Cette assurance a été donnée au représentant public des Combattants de la liberté économique (EFF), Carl Niehaus, à la recherche des raisons de ce qu’il a qualifié de retard excessif dans « un projet extrêmement important ».
Les retards, allant des restrictions liées à la pandémie de COVID-19 et aux troubles et émeutes de 2021 au KwaZulu-Natal, ont eu un impact sur la construction d’un nouveau navire hydrographique pour la marine sud-africaine (SAN). Ceux-ci ont vu des changements dans la date de livraison, mars de l’année prochaine étant actuellement la dernière disponible.
La réponse écrite de Motshekga à la question de Niehaus indique que les « engagements tripartites » impliquent la société publique d’acquisition et de gestion de projets de défense, l’entrepreneur principal (Sandock Austral) et les principaux sous-traitants.
« Des pourparlers », l’a-t-elle informé le mois dernier (novembre), « sont en cours pour établir un comité d’intégration de systèmes dans le seul objectif d’exécuter le projet en cours jusqu’à son terme de la manière la plus efficace et la plus rentable, conformément aux exigences du projet ». Les pourparlers verront l’élaboration d’un mandat visant à « tracer clairement la voie à suivre ».
Le remplaçant du SAS Protea (A324) naviguera sous le nom de SAS Nelson Mandela (A187) lorsqu’il sera accepté dans la flotte SAN après avoir réussi les tests opérationnels et l’évaluation (OTE), également connus sous le nom d’essais en mer.
La construction du navire Nelson Mandela, selon la conception du Vard Marine 9 105, est la composante majeure du projet Hôtel, lancé en décembre 2017, avec l’acquisition de trois bateaux à moteur d’enquête, d’un bateau de mer et une modernisation du Bureau hydrographique (HO) du SAN. à la mine d’argent. Le nouveau navire hydrographique et ses auxiliaires, y compris la composante terrestre, sont évalués à 2,7 milliards de rands.
Le SAS Nelson Mandela, long de 95 mètres, disposera, une fois terminé, d’une étrave renforcée en vue des opérations dans les océans du Sud, d’une autonomie de 10 000 milles marins et d’une vitesse de pointe de 18 nœuds. L’équipement d’enquête avancé à bord comprendra des échosondeurs à faisceaux multiples et simples, un sonar à balayage latéral et un échantillonneur de fond marin pour récupérer les matériaux du fond marin et les sous-strates sous-jacentes à des fins d’analyse et de test détaillées.