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L’absence de la haute direction de DMV a un impact sur les services

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Lu il y a 4 minutes


Le ministre de la Défense et des Anciens combattants du président Cyril Ramaphosa « n’en fait pas assez » pour les anciens soldats sud-africains, constate sur le terrain un parlementaire qui surveille la situation des anciens combattants depuis 2019.

Maliyakhe Shelembe est le numéro deux de l’équipe de l’Assemblée nationale (AN) du Parti démocrate (DA) chargée du contrôle de la défense et des anciens combattants. Son premier mandat a été celui de vice-ministre fantôme dans la sixième administration et il est désormais le porte-parole adjoint de son parti en matière de défense et d’anciens combattants.

Il s’intéresse particulièrement au sort des anciens soldats et il a posé de nombreuses questions à l’actuelle présidente Angie Motshekga et à son prédécesseur, Thandi Modise. Les questions de Shelembe couvrent toute la gamme des services que les anciens combattants sont censés recevoir du gouvernement. Celles-ci vont des pensions et des soins de santé jusqu’à l’assistance et le soutien aux opportunités d’emploi et à l’utilisation subventionnée des transports publics.

L’une d’entre elles a reçu une réponse écrite peu avant l’ajournement du Parlement pour les vacances de fin d’année, ce qui lui a valu de dire « n’en faisait pas assez » à DefenceWeb. Il voulait que le ministre lui indique quand le ministère des Anciens Combattants militaires recevrait un directeur général permanent.

Cela s’explique par le fait que la DMV est actuellement sous la direction de son quatrième directeur général par intérim ces dernières années. Nontobeko Mafu assure l’intérim depuis la démission de l’ancienne directrice générale Irène Mpolweni en février dernier à la suite d’une suspension. La liste du directeur général par intérim contient deux anciens officiers supérieurs des Forces de défense nationale sud-africaines (SANDF), l’un étant un ancien chef de la marine sud-africaine (SAN) et l’autre un officier trois étoiles de l’armée qui, entre autres, dirigeait la Division des opérations conjointes. Un autre intérimaire était Max Ozinsky, nommé en novembre 2016, qui a quitté le poste lorsque le lieutenant-général à la retraite Derrick Mgwebi a été parachuté.

La question de Shelembe se lit comme suit : « À quelle date le poste de directeur général de la DMV sera-t-il pourvu, compte tenu de l’instabilité de la gestion et du leadership dans son département causée par le retard dans la nomination d’un directeur général permanent, qui à son tour contribue énormément à l’échec. de son ministère pour offrir les avantages aux anciens combattants ?

La réponse ministérielle indique qu’elle [probably in the form of her office] a écrit à [Mzamo Buthelezi] Le ministre de la Fonction publique et de l’Administration « sollicitera l’accord conformément à la directive émise sur le pourvoi des postes vacants ». Shelembe est en outre informé qu’en plus de nommer un directeur général, la priorité sera également de trouver des personnes appropriées pour les postes de directeurs généraux adjoints à la DMV « afin de garantir le rétablissement de la stabilité de la gestion et du leadership ». Aucun calendrier ni date n’est donné pour aucun des trois postes de direction.



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