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Pas de surprises sur le front de la défense dans le registre des intérêts des députés du Parlement

Service Com'
Lu il y a 5 minutes


Une partie du travail d’un ministre consiste à rencontrer ses homologues d’autres pays à la recherche d’un terrain d’entente au moyen de protocoles d’accord, d’accords bilatéraux et d’autres outils diplomatiques.

Dans le cas d’Angie Motshekga, choisie par le président Cyril Ramaphosa comme ministre de la Défense et des Anciens Combattants militaires dans son gouvernement d’unité nationale (GNU), elle a rencontré cinq ministres de la Défense étrangère au cours de ses quatre premiers mois de mandat, comme le prouvent les cadeaux de plaques. En outre, elle a reçu deux plaques pour qu’elle « se souvienne » du Service de santé militaire SA (SAMHS), ainsi qu’une « montre de hall » R350. [presumably a clock]», et le renseignement de la défense, qui a également jugé bon d’offrir au ministre des fleurs d’une valeur de 400 rands. Les plaques des ministres de la Défense proviennent, par ordre alphabétique, de France, du Nigeria, d’Arabie Saoudite, de Tanzanie et de Thaïlande. Leur valeur, selon sa soumission au registre, est de R2 050.

Les articles sont répertoriés dans le dernier registre disponible des intérêts des membres du Parlement d’Afrique du Sud sous la rubrique « cadeaux et marques d’hospitalité ». Le registre couvre la période allant de la prestation de serment des ministres du Cabinet GNU en juillet de cette année jusqu’en octobre.

D’autres « cadeaux et marques d’hospitalité » répertoriés par la quatrième femme ministre démocratique de la Défense et des Anciens Combattants d’Afrique du Sud sont un livre « SA Army 2022/23 : A Pictorial Journey », tandis qu’un portrait du lieutenant-général Wiseman Mbambo lui a été offert par l’armée de l’air sud-africaine. (SAAF). D’autres cadeaux sont venus du chef de l’armée sud-africaine, le lieutenant-général Lawrence Mbatha, sous la forme d’un livre, de fleurs, d’assiettes et d’un « petit sac » d’une valeur de 600 rands, ainsi que de fleurs et d’une « cabane » du président de la Défense nationale sud-africaine. Force (SANDF) Forum des conjoints.

En ce qui concerne les actions, le travail en dehors du Parlement, les mandats d’administrateur, les parrainages de consultants, les avantages sociaux et les prêts sans intérêt et les voyages, Motshekga a informé les compilateurs du registre qu’elle n’avait « rien à divulguer ».

Le général deux étoiles à la retraite Bantu Holomisa, l’un des deux vice-ministres adjoints de la Défense et des anciens combattants, répertorie les casquettes, les porte-clés, les agendas, les jeux de stylos ainsi qu’une assiette en or, des bols suédois et des bols traditionnels chinois ainsi qu’un modèle réduit d’avion, un modèle un sous-marin et une maquette de bateau en cadeau sans y accorder aucune valeur.

Le deuxième vice-ministre Richard Hlophe, dit Richard Mkhungo, n’a pas répondu à la demande de publication d’informations dans le registre.

Sur les bancs de l’opposition parlementaire, un certain nombre de parlementaires siègent à l’un des trois comités de surveillance de la défense : le Comité permanent mixte de la défense (JSCD), le Comité du portefeuille de la défense et des anciens combattants (PCDMV) et le Comité spécial de la sécurité et de la justice.

Trois députés de l’Alliance démocratique (DA) – Nicholas Gotsell, Chris Hattingh et Maliyakhe Shelembe – ont tous coché la case « rien à divulguer ». Carl Niehaus, député des Combattants de la liberté économique (EFF), a suivi le même chemin, à l’exception des missions de conseil et de mandat (sic) où il a noté « les relations publiques et les médias à titre personnel ».

Le député de l’Inkatha Freedom Party (IFP), Russel Cebekulu, n’avait lui aussi « rien à divulguer », tout comme les représentants publics du MKP (uMkhonto we Sizwe Party), Edward Ntshingila ou Des van Rooyen.

Le Daily Maverick rapporte que Moloto Mothapo, des services de communication du Parlement, a déclaré la divulgation d’actifs [by MPs] est « effectivement un système d’honneur ».

« Le système de divulgation exige des députés qu’ils agissent avec vérité et intégrité lorsqu’ils divulguent leurs intérêts financiers et enregistrables », rapporte-t-il en disant avec l’avenant « puisque les députés saisissent leurs propres informations dans le système, il existe un risque d’erreurs typographiques ou involontaires ». omissions lors du processus de saisie des données ».



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