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Le symposium annuel du Médiateur militaire, une plateforme pour améliorer la surveillance de la SANDF

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Lu il y a 4 minutes


Dans le cadre de la célébration de son anniversaire, le Médiateur militaire a récemment organisé un symposium annuel qui a rassemblé différentes parties prenantes et acteurs pour partager leurs connaissances et les meilleures pratiques au sein des forces armées.

Le symposium s’est tenu le 22 novembre sous le thème : « Affirmer et promouvoir la responsabilité de surveillance du Médiateur militaire : 30 ans de démocratie ».

Le vice-ministre de la Défense et des Anciens Combattants, Richard Mkhungo, a prononcé un discours liminaire au nom de la ministre Angie Motshekga. Était présent le Comité permanent mixte de la défense dirigé par le coprésident Malusi Gigaba.

Dans son discours d’ouverture, Mkhungo a déclaré qu’il était crucial de reconnaître que les forces armées, riches en diversité et en potentiel, ont été confrontées à de nombreux défis qui ont mis à l’épreuve leur résilience et leur détermination à remplir leurs fonctions tout en protégeant la souveraineté de la République d’Afrique du Sud. « Malgré ces défis, ceux-ci ne doivent ni être tolérés ni normalisés. Je suis convaincu que nos forces armées les surmonteront.

Parmi les intervenants de la journée figuraient le Dr Moses B Khanyile – Directeur : CEMIS, Université de Stellenbosch ; l’avocat Nompilo Kholeka Gcaleka, protecteur du citoyen ; Neptune Masombuka, directeur par intérim du Justice College ; l’avocat Dinkie Dube, directeur général, Commission de la fonction publique; lieutenant-général Malungisa Sitshongaye, chef des ressources humaines, SANDF ; Professeur Lindy Heinecken, professeur agrégé de sociologie, Université de Stellenbosch ; et l’honorable juge Siraj Desai, médiateur des services juridiques, Afrique du Sud.

Dans son discours de bienvenue, le médiateur militaire, le lieutenant-général (à la retraite) Vusumuzi Masondo, a déclaré aux délégués que l’objectif du symposium est de recueillir les points de vue des civils et des armées pour améliorer les pratiques opérationnelles du Bureau.

Masondo a déclaré que les institutions publiques et les fonctionnaires doivent adhérer aux principes d’une procédure régulière lorsqu’ils prennent des décisions administratives ou prennent des mesures administratives. « Nos forces armées font également partie du public. Même si leurs droits sont limités, ces droits doivent être protégés conformément aux lois nationales et internationales », a déclaré Masondo.

Il a déclaré que les échanges d’idées approfondis qu’ils ont eus contribueront grandement à équiper son bureau dans sa tentative d’améliorer et de renforcer la gouvernance démocratique au sein des forces armées également.

Gigaba a déclaré que le bureau du médiateur militaire doit inspirer confiance aux personnes qu’il sert. « En tant que comité, nous voulons de l’honnêteté lorsque vous traitez les plaintes qui vous parviennent. Nous voulons également nous assurer que vous assumez votre responsabilité en tant que bureau.

Le Bureau a été créé en 2012 avec pour mandat d’enquêter sur les plaintes déposées par des membres et anciens membres des Forces de défense nationale sud-africaines (SANDF) concernant leurs conditions de service. Une partie du mandat consiste également à enquêter sur les plaintes des membres du public concernant la conduite officielle de la SANDF lorsqu’ils sont en service.



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