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De l’approche des trafiquants de drogue à l’élevage du bétail – une journée comme les autres sur la protection des frontières sud-africaines

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Lu il y a 4 minutes


De loin – en termes monétaires – la partie la plus réussie de l’opération Corona de protection des frontières en novembre a été la confiscation de stupéfiants évalués à plus de 8 millions de rands par la Division des opérations conjointes de la Force de défense nationale sud-africaine (SANDF).

C’est plus que les 6,7 millions de rands de stupéfiants non précisés saisis auprès de contrebandiers en octobre, les Mozambicains étant encore une fois les principaux coupables. En octobre, des soldats travaillant à la frontière entre Mpumalanga et le Mozambique ont secouru des trafiquants de stupéfiants d’une valeur de 5,6 millions de rands – le mois dernier, le transport de stupéfiants le long du même tronçon de frontière terrestre était évalué à 5,9 millions de rands.

Des Mozambicains qui tentaient d’introduire clandestinement de la drogue en Afrique du Sud via la frontière du KwaZulu-Natal, ainsi que des Swazis passant par la même frontière terrestre mais dans une zone différente, ont été arrêtés avec une valeur de 2,9 millions de rands de drogue. Les opérations conjointes ne précisent pas les types et les quantités de drogues confisquées et remises à la police, mais la liste est généralement en tête de liste des dagga.

Une plus petite quantité de drogues a été saisie auprès des Basotho (valeur de 4 000 rands) et des Zimbabwéens (1 610 rands) en novembre.

Comme c’est devenu la norme, le nombre de Mozambicains tentant d’entrer en Afrique du Sud via le Mpumalanga ou le KwaZulu-Natal, soit 275, est bien plus que par toute autre frontière terrestre sud-africaine. Le nombre d’immigrants illégaux enregistré par les soldats comprenait 30 Zimbabwéens ; 27 combinés d’Eswatini et du Mozambique ; 28 Basotho le long de ses frontières avec le Cap oriental et l’État libre ainsi que deux Botswanais.

Le pâturage illégal, rendu plus facile par l’absence ou l’absence de clôtures et par le manque ou l’absence d’eau dans les rivières qui délimitent les frontières terrestres, a vu les soldats se tourner vers l’élevage de bovins, de chèvres et de moutons sur des sections des frontières de l’Afrique du Sud avec l’Eswatini, le Lesotho et le Mozambique. Au total, du bétail, allant des bovins aux chèvres et moutons, d’une valeur de 3 millions de rands, a été saisi.

Les soldats, aidés par la police et les services de renseignement, ont appréhendé 28 « criminels » qui se retrouvent désormais derrière les barreaux en attendant leur procès pour des accusations non précisées. La fine ligne de camouflage composée de soldats des forces régulières et de réserve a également veillé à ce que des véhicules (nombre non précisé) d’une valeur de 1,8 million de rands soient empêchés de quitter l’Afrique du Sud à destination des magasins de vente au détail ou des acheteurs de l’autre côté de la frontière.

En novembre, les soldats ont également récupéré plus de 700 000 rands de marchandises de contrebande auprès de passeurs transfrontaliers.



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