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Le ministère de la Défense a mis en place des plans pour répondre aux préoccupations du vérificateur général

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Lu il y a 4 minutes


Un aperçu en trois parties des 100 premiers jours du deuxième gouvernement d’unité nationale (GNU) d’Afrique du Sud, axé sur la défense et les anciens combattants, rédigé par Bantu Holomisa, l’un des deux vice-ministres d’Angie Motshekga, a suscité la réaction des médias officiels du ministère de la Défense.

Parmi les problèmes soulevés par le leader du Front démocratique uni (UDM), figurent la lenteur dans la tenue des dossiers ; conformité des achats et discipline financière ; Les principaux objectifs de performance annuels « non atteints » ainsi que les dépenses inutiles et inutiles. Les problèmes ne se limitent pas au ministère de la Défense (DoD) et à la Force de défense nationale sud-africaine (SANDF) et incluent le ministère des Anciens combattants (DMV) et Armscor.

Holomisa indique clairement qu’il répond à la suite d’une mission ministérielle visant à analyser un rapport du vérificateur général (AG) au Comité du portefeuille de la défense et des anciens combattants (PCDMV) et au Comité permanent des comptes publics (SCOPA). L’élaboration d’un « plan stratégique » est en cours ainsi qu’une feuille de route pour « résoudre les problèmes de classification erronée, améliorer la transparence et restaurer l’intégrité financière ». Chaque préoccupation de l’AG sera traitée par des actions spécifiques, a-t-il noté.

En réponse à un article paru dans un quotidien de Johannesburg sur les rapports d’Holomisa, une déclaration conjointe du DoD HoC (chef de la communication), Siphiwe Dlamini et Onnika Kwakwa, responsable des communications et de la liaison du ministère, indique que le DoD « a déjà élaboré un plan d’action » pour répondre aux questions soulevées par le VG.

Dans le quatrième de son rapport de sept pages, distribué aux hauts responsables du DoD et de la SANDF, Holomisa estime que la gestion des « fonds secrets » est « troublante ». Ces fonds, affirme-t-il, sont essentiels à la sécurité nationale et manquent de transparence.

« Pour résoudre ce problème, nous élaborons de nouveaux plans de surveillance et d’urgence pour l’utilisation des fonds secrets dans le but de satisfaire à la fois l’AG et le Comité permanent des comptes publics (SCOPA). Nous ne pouvons permettre que ces fonds soient utilisés à mauvais escient car ils sont essentiels au fonctionnement du [national] force de défense et la sécurité du pays.

Plus tôt cette semaine, le vérificateur général de l’Afrique du Sud a rapporté qu’au cours des cinq dernières années, le ministère de la Défense était responsable de la grande majorité des dépenses irrégulières au sein des départements gouvernementaux, à hauteur de 14,39 milliards de rands, en raison de dépenses excessives en matière de salaires.

En ce qui concerne les dépenses inutiles et inutiles, le ministère de la Défense a accumulé 75 millions de rands au cours des cinq dernières années.



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