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Le Comité de la Défense salue le dialogue visant à renforcer le contrôle de la défense

Service Com'
Lu il y a 3 minutes


Le Comité du portefeuille sur la défense et les anciens combattants (PCDMV) a salué ce qu’il considère comme des tables rondes fructueuses avec des experts universitaires de la Faculté des sciences militaires de l’Université de Stellenbosch, notamment l’Institut de sécurité pour la gouvernance et le leadership en Afrique et le Centre pour les études militaires. Études sur les mesures visant à améliorer la surveillance de la défense.

Les présentations du monde universitaire ont porté sur l’évolution de la politique de défense après 1994, les mesures visant à améliorer l’état critique de déclin de la Force de défense nationale sud-africaine (SANDF), la nécessité d’une discipline militaire et le maintien de bonnes relations civilo-militaires démocratiques.

Les documents fournissaient également un aperçu du contrôle parlementaire de la défense après 1994, un contributeur essentiel à de solides relations civilo-militaires, a déclaré le PCDMV dans un communiqué le mois dernier. Les mémoires ont également mis en évidence plusieurs pièges à éviter lors de la 7e législature : la commission s’est inquiétée du fait que certaines législatures précédentes avaient permis aux ministres d’éviter de répondre aux questions posées par les députés, les commissions de la défense permettant souvent au ministère d’ignorer les questions lors des réunions de commission.

Le comité a exprimé de sérieuses inquiétudes quant à la détérioration de l’état de la Force de défense nationale sud-africaine (SANDF), notant que le mandat de la Force de défense n’est pas aligné sur son budget, ce qui pourrait conduire à son effondrement. Le comité a également noté les observations des universitaires concernant l’utilisation croissante de la SANDF au niveau national, affirmant que même si elle peut être utilisée à bon escient dans certains cas, les déploiements prolongés peuvent devenir problématiques.

La présidente du comité, Dakota Legoete, a déclaré : « Pour que les comités de défense soient efficaces, ils doivent définir clairement leurs attentes à l’égard du ministère et veiller à ce qu’elles soient satisfaites. » Le comité a également noté que même si la diminution du budget contribue à un déclin de la force, d’autres interventions et mesures correctives au sein de la SANDF sont également nécessaires.

Une autre préoccupation était que le secrétaire à la Défense n’a aucune autorité opérationnelle sur la SANDF mais reste responsable de ses actifs en vertu de la loi sur la gestion des finances publiques. Cela a des implications pour la gestion des conséquences.

Le comité a décidé qu’une nouvelle législation devait être introduite pour renforcer et responsabiliser le Bureau du médiateur militaire et consolider son autorité et ses capacités. Le comité a conclu qu’il envisageait des engagements réguliers avec des spécialistes du secteur du monde universitaire pour éclairer le contrôle au sein de la 7e législature.



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