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Le ministère de la Défense de Motshekga conteste la dette massive des travaux publics de 4 milliards de rands

Service Com'
Lu il y a 3 minutes


Le ministère de la Défense (DoD), par l’intermédiaire de sa division logistique, conteste le fait qu’il doive au ministère des Travaux publics et des Infrastructures (DPWI) environ 4 milliards de rands.

Le chiffre a été cité par Frederik Jacobus (Rikus) Badenhorst, représentant public du Conseil national des provinces du Cap-Occidental (NCOP) de l’Alliance démocratique (DA), alors qu’il cherchait des éclaircissements auprès de la ministre de la Défense et des Anciens combattants militaires, Angie Motshekga, sur les sommes dues à l’entité commerciale de gestion immobilière DPWI.

Se référant au plan de performance annuel (APP) et au budget du DPWI pour 2024/25, Badenhorst a demandé à Motshekga quand la dette sera réglée et si des mesures sont en place pour éviter une récidive.

Une réponse écrite du général de brigade LC Kekana, directeur des installations de la division logistique, indique, entre autres, que le montant dû est « contesté » et que le DoD a « officiellement informé » le département du ministre Dean Macpherson de son « mécontentement » concernant la réclamation.

« Le DoD ne réglera la dette présumée qu’une fois que les montants corrects auront été présentés par DPWI. » DPWI, poursuit la réponse, réclame de l’argent au DoD sans preuve des services fournis en ce qui concerne les services partagés ainsi que les services municipaux où le DoD n’occupe pas les installations et est surfacturé. Le DoD souhaite en outre que DPWI utilise une facturation détaillée pour « garantir l’exactitude des factures ».

La note à une étoile note que le DoD a « établi un mécanisme de vérification » pour les services DPWI, y compris la confirmation des services rendus. En conclusion, Badenhorst apprend que le département de Macpherson « est informé de la soumission de factures exactes avec pièces justificatives pour les paiements par le DoD ». Il s’agit apparemment d’une condition nécessaire pour se conformer aux réglementations de la Loi sur la gestion des finances publiques (PFMA). « Ces mesures garantiront un traitement rapide des paiements. »

Les réponses aux questions parlementaires posées à l’ancien ministre Thandi Modise plus tôt cette année ont mis en lumière que la SA National Defence Force (SANDF) utilisait plus de 52 800 bâtiments dans les neuf provinces d’Afrique du Sud, la majorité des installations étant « dans un état équitable ».



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