Le ministre de l’Intérieur, Leon Schreiber, a déclaré à un parlementaire : « Nous ne nions pas que la plupart de nos ports d’entrée sont confrontés à un problème de corruption ».
Dans sa réponse écrite au représentant de l’Assemblée nationale (AN) des combattants pour la liberté économique (EFF), Thapelo Mogale, il ajoute que les mesures visant à « freiner et éliminer la corruption » se poursuivent. L’une d’entre elles est le système de contrôle biométrique des mouvements (BMCS) qui, grâce à une technologie avancée comme les caméras corporelles, les drones (véhicules aériens sans pilote) et la vidéosurveillance, aidera l’Autorité de gestion des frontières (BMA) à détecter « les actes de corruption au fur et à mesure qu’ils se produisent ».
Le Forum de gestion des frontières et de lutte contre la corruption dans le domaine de l’immigration, constitué par l’Unité spéciale d’enquête (SIU), la BMA et le ministère de l’Intérieur (DHA), contribuera, selon la réponse ministérielle, à l’élaboration de stratégies et de mesures visant à lutter contre la corruption dans le domaine frontalier, en se concentrant sur « l’espace de l’immigration ».
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