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Les saisies de contrebande et de stupéfiants en tête des actions de l’opération Corona de juillet

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Lu il y a 4 minutes


La fine ligne de camouflage des soldats de la Force de défense nationale sud-africaine (SANDF) patrouillant sur les sept frontières terrestres sud-africaines dans le cadre de l’opération Corona en juillet a intercepté, entre autres, des passeurs chargés de drogues et d’autres produits de contrebande d’une valeur de plusieurs millions de rands.

Les statistiques fournies par la SANDF pour la période du 1er au 31 juillet indiquent que des drogues d’une valeur de 1,88 million de rands ont été saisies aux frontières de l’Afrique du Sud, mais il semble qu’une confiscation massive de dagga d’une valeur de 5,8 millions de rands par le 8e bataillon d’infanterie sud-africaine (SAI) à la frontière entre l’Eswatini et l’Afrique du Sud le 31 juillet n’ait pas été prise en compte dans les statistiques du mois dernier. Les soldats ont découvert 28 sacs de dagga apparemment abandonnés lors d’une importante saisie.

Le mois dernier, des marchandises de contrebande d’une valeur de 5 millions de rands ont été confisquées par les 15 compagnies militaires en patrouille aux frontières, issues principalement des composantes régulières et de réserve de la formation d’infanterie de l’armée sud-africaine soutenue par la formation blindée, sous la forme du 1er bataillon des services spéciaux (SSB) basé à Tempe.

Les soldats ont été particulièrement actifs à la frontière entre le Limpopo et le Zimbabwe en matière de contrebande, saisissant des articles d’une valeur de 4,3 millions de rands présumés être des cigarettes, de l’alcool, des produits pharmaceutiques, des vêtements et des chaussures de marque contrefaits, entre autres.

Entre-temps, une opération conjointe SANDF/SA Police Service a permis le 18 juillet d’intercepter des cigarettes illicites d’une valeur de 6 millions de rands dans un camion suspect près d’Underberg. Le camion contenait 300 boîtes de cigarettes Boss.

Le flux d’immigrants illégaux vers l’Afrique du Sud se poursuit sans relâche, les soldats ayant intercepté 918 personnes le long de six frontières. Comme d’habitude, les Basothos – 431 – constituent le plus grand nombre de « sans-papiers », suivis des Zimbabwéens (256) et des Mozambicains (222), suivis de loin par les Namibiens (5) et les Botswanais (4).

En plus des immigrants illégaux, les soldats ont appréhendé 68 criminels aux frontières de l’Afrique du Sud en juillet et récupéré des véhicules volés d’une valeur de 11 millions de rands, la majorité saisis à la frontière entre l’Afrique du Sud et le Zimbabwe.

Les soldats basés le long des frontières de l’État libre du Lesotho et du Cap-Oriental semblent se voir confier la tâche de protéger le bétail. Cela est principalement dû au fait que les éleveurs basothos utilisent les terres sud-africaines pour faire paître leur bétail, leurs moutons et leurs chèvres. Les opérations conjointes ont rapporté que la valeur du bétail ramené dans ce pays enclavé est estimée à 3,7 millions de rands.

Les soldats postés à la frontière entre le KwaZulu-Natal ont également assumé le rôle de berger en renvoyant du « petit bétail » (chèvres et moutons) d’une valeur de 45 000 rands au pays du président Felipe Nyusi, tandis qu’au Limpopo, les soldats ont récupéré du bétail en pâturage illégal d’une valeur de 376 000 rands.



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