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Les soldats morts de Vala Umgodi enterrés, toujours pas de nouvelles de la commission d’enquête

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Lu il y a 3 minutes


La Force de défense nationale sud-africaine (SANDF), avec l’armée sud-africaine à l’avant-garde, a enterré quatre soldats qui ont apparemment succombé à un empoisonnement au monoxyde de carbone (CO) alors qu’ils étaient de garde dans le cadre de l’opération Vala Umgodi menée par le service de police sud-africain (SAPS) pour freiner l’exploitation minière illégale.

FrançaisLes décès survenus le 6 juillet du caporal-chef LS Mbongwa, des soldats MS Manganyi, du LRT Mpolokeng et du MP Nzukela ont été suivis d’une enquête menée par un médecin du district provincial du Nord-Ouest. Les conclusions préliminaires d’une équipe du laboratoire de sciences médico-légales (FSL) de la SAPS de Pretoria ont indiqué que l’intoxication au monoxyde de carbone était la cause la plus probable du décès. Selon une déclaration de la SANDF attribuée à Siphiwe Dlamini, chef de la communication du ministère de la Défense (DoD), cela a été attribué à « un possible incendie allumé pendant la nuit froide à l’intérieur de la structure du conteneur » – les corps des soldats ont été retrouvés dans un conteneur d’expédition utilisé comme poste de garde par leur remplaçant à la fin d’une garde de 24 heures dans une mine désaffectée de la région des Orcades, dans la province du Nord-Ouest.

Outre la divulgation des noms des soldats morts et du lieu où ils ont été enterrés, la SANDF, par l’intermédiaire de sa directrice par intérim, la Direction de la communication d’entreprise (DCC), la colonel Selinah Rawlins, n’a pas répondu à une demande de renseignements de defenseWeb. La demande de renseignements a également été adressée à la Direction de la communication d’entreprise de l’armée sud-africaine, qui n’a jusqu’à présent reçu aucune réponse. Cette publication souhaite savoir si une commission d’enquête (BOI) sera constituée pour enquêter sur les décès, selon la procédure opérationnelle standard (SOP) au sein des forces de défense nationale.

Des questions ont été soulevées au sujet de la garde, l’un d’eux, qui connaît manifestement l’armée sud-africaine, soulignant que la communication radio pendant la garde est de « la plus haute importance ». Il a indiqué que les soldats qui montent la garde doivent se présenter toutes les heures à une salle d’opérations. Cette salle devrait être occupée par des « signaleurs compétents » qui, encore une fois, devraient se présenter au commandant de la garde ou à l’officier de service si aucun contact n’est établi. De plus, l’officier et le sous-officier de service sont censés faire des rondes régulières pour vérifier les gardes. Dans l’incident des Orcades, il semble qu’aucune de ces opérations n’ait été effectuée.



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