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De nouveaux visages au sein du groupe JCPS du Cabinet

Service Com'
Lu il y a 4 minutes


On peut s’attendre à plus de clarté concernant le fonctionnement du septième cabinet démocratique d’Afrique du Sud, qui a prêté serment la semaine dernière, après le lekgotla de deux jours de cette semaine, avec son groupe JCPS (Justice, Prévention du crime et Sécurité) ayant une nouvelle composition.

Sont partis les ministres Thandi Modise (Défense et Anciens combattants), Bheki Cele (Police), de l’Intérieur (Aaron Motsoaledi, de retour à la Santé) et Ronald Lamola (Justice et Services correctionnels aux Relations internationales et à la Coopération).

Angie Motshekga (Défense et anciens combattants) fait son entrée avec deux adjoints, tandis que Senzo Mchunu quitte l’eau et l’assainissement pour prendre en charge le portefeuille de la police, également avec deux adjoints. Thandi Nkadimeng est désormais ministre de la Justice et du Développement constitutionnel, les Services correctionnels étant un département et un ministère autonomes sous la direction de Pieter Groenewald. Le dernier nouveau visage du groupe JCPS est celui de Leon Schreiber aux Affaires intérieures.

En termes de partis, le groupe comprend des représentants de l’ANC (Congrès national africain), de la DA (Alliance démocratique) et du FF+ (Front de la liberté plus), conformément au cabinet multipartite élargi nommé par le président Cyril Ramaphosa un mois après que le pays se soit rendu aux urnes.

Il n’y a pas encore d’indication quant à savoir si le groupe JCPS s’élargira pour inclure les portefeuilles désormais distincts des services correctionnels et de la justice.

Avant l’ouverture de la session parlementaire, lors d’une séance conjointe de l’Assemblée nationale et du Conseil national des provinces (NCOP) le jeudi 18 juillet (jour de Mandela), 30 commissions de portefeuille et cinq autres commissions ont été nommées. Parmi elles figure la Commission de portefeuille de la défense et des anciens combattants (PCDMV), tandis qu’aucune des autres, y compris les commissions permanentes, n’est nommée par le Parlement.

L’un d’entre eux est le Comité mixte permanent de défense (JSCD), établi conformément à la Constitution sud-africaine. Son mandat est le suivant : « enquêter et formuler des recommandations sur le budget, le fonctionnement, l’organisation, l’armement, la politique, le moral et l’état de préparation de la Force de défense nationale et exercer d’autres fonctions relatives à la supervision parlementaire de la Force, telles que prescrites par la loi ». Ses membres sont issus de l’AN et du NCOP et constituent, à l’instar du PCDMV, un mécanisme de supervision multipartite » de la Force de défense nationale sud-africaine (SANDF) dans son intégralité.

Le JSCD ainsi que les comités permanents mixtes sur la gestion financière du Parlement et le renseignement sont les trois seuls à être issus de représentants publics de l’AN et du NCOP.

Les représentants du public du NCOP constituent le Comité spécial sur la sécurité et la justice qui couvre cinq ministères : la défense et les anciens combattants, les affaires intérieures, la justice et les services correctionnels (scissionnés lors de la septième administration démocratique), les relations internationales et la coopération et la police.



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