Ad image

Modise et Cele ne reviennent pas au cluster JCPS

Service Com'
Lu il y a 3 minutes


Avec un GNU (Gouvernement d’unité nationale) à l’horizon pour la septième administration démocratique de l’Afrique du Sud, de nouveaux visages sont attendus parmi les représentants de la scène publique, sans Thandi Modise ou Bheki Cele au sein du Cabinet ou de son groupe Justice, Prévention du crime et sécurité (JCPS).

Ni l’ancienne ministre de la Défense et des Anciens Combattants militaires, ni son homologue de la police ne figuraient suffisamment haut sur la liste réduite des représentants publics de l’ANC (Congrès national africain) pour figurer dans la liste. De même, le député de Modise, Thabang Makwetla, est également absent de la liste parlementaire remise hier (jeudi 6 juin) au juge en chef Raymond Zondo par le président de la Commission électorale indépendante (CEI), avant qu’elle ne soit remise au secrétaire du Parlement, Xolile George, en Johannesbourg.

La première séance de l’Assemblée nationale (AN) et du Conseil national des provinces (NCOP) doit avoir lieu au plus tard 14 jours après la proclamation des résultats des élections. Cela a eu lieu au centre national des opérations des résultats de la CEI à Midrand, dans le Gauteng, le dimanche 2 juin.

Sont également absents lors de la première séance du Parlement après les élections du 29 mai Cyril Xaba et Mamagase Nchabeleng, coprésidents du Comité permanent mixte de la défense (JSCD) et du Comité du portefeuille de la défense et des anciens combattants (PCDMV).

En août 2021, Modise a repris le portefeuille de la défense et des anciens combattants de Nosiviwe Mapisa-Nqakula, désormais confronté à des accusations de corruption liées au mouvement du matériel militaire de la Force de défense nationale sud-africaine (SANDF) vers l’Afrique du Sud depuis la République démocratique du Congo (RDC) et le Soudan. Avant cela, elle était présidente de l’Assemblée nationale de mai 2019 jusqu’à remplacer Mapisa-Nqakula lors d’un remaniement ministériel à la suite des troubles de juillet 2021.

Un autre responsable du gouvernement qui ne fera pas partie de l’Assemblée nationale ni des commissions chargées de la défense est Kobus Marais, de l’Alliance démocratique. En tant que ministre fantôme de la Défense et anciens combattants, il s’est montré franc dans sa tentative d’améliorer la vie des soldats – en service et à la retraite – par le biais de remises en question constantes.

En vertu de la loi sud-africaine, le président a toute latitude pour nommer le cabinet et peut comprendre deux personnes qui ne sont pas membres de l’Assemblée nationale. On ne sait pas clairement qui dirigera le nouveau gouvernement ni comment il sera composé, les pourparlers de coalition étant toujours en cours.



Source link

Share This Article
Laisser un commentaire