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Pas d’argent du DoD pour les batailles juridiques Mapisa-Nqakula

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Lu il y a 4 minutes


L’actuel ministre de la Défense et des Anciens Combattants, Thandi Modise, a mis fin à toute possibilité de financement du ministère de la Défense (DoD) pour son prédécesseur qui fait face à des accusations de corruption impliquant plus de 4 millions de rands.

S’adressant à un briefing dominical à Centurion sur l’état de la Force de défense nationale sud-africaine (SANDF), conformément à son 30ème anniversaire, Modise est sortie du sujet pour préciser que Nosiviwe Mapisa-Nqakula ne recevrait pas d’aide financière du DoD pour sa défense juridique contre 12 chefs d’accusation de corruption et un de blanchiment d’argent.

« En ce qui concerne la demande de l’ancienne ministre de la Défense et des Anciens combattants d’une représentation juridique parrainée par l’État dans son affaire de corruption, après un examen approfondi avec les autorités compétentes, nous avons conclu que la requérante n’était pas éligible à un tel avantage. L’article 6.2 de la politique de représentation légale de l’État stipule que la couverture « s’applique à toute réclamation déposée ou initiée contre toute personne découlant de et/ou directement liée à un acte et/ou une omission présumée de la part du demandeur dans l’exercice de ses fonctions officielles ou lorsque le candidat croyait objectivement et de bonne foi qu’il agissait dans le cadre de son emploi, ou sur la base de tout motif découlant de ou lié aux fonctions officielles du candidat », indique le communiqué de Modise publié à la formation de soutien logistique de Lyttelton Manor. , lut Centurion en partie.

« Guidés par cette politique, nous sommes arrivés à la conclusion que les allégations portées contre l’ancienne ministre ne sont pas liées à l’exercice de ses fonctions à l’époque. Une correspondance à cet effet a été envoyée au demandeur et l’affaire est désormais officiellement close.

L’implication présumée de Mapisa-Nqakula dans des actes malsains remonte à 2016 et était apparemment initialement centrée sur l’expédition et le retour en Afrique du Sud d’équipements de la SA National Defence Force (SANDF) depuis le Darfour au Soudan. Ce contrat, ainsi qu’un deuxième contrat similaire visant à restituer du matériel militaire à l’Afrique du Sud depuis la République démocratique du Congo (RDC), ont été attribués à Umkhombe Marine, une société dirigée par l’ancien président d’AMD (SA Aerospace, Maritime and Defence Industries Association), Nombasa Ntsondwa. -Ndhlovu, constituent la base des accusations portées contre Mapisa-Nqakula.

Sa maison haut de gamme à Bruma, à Johannesburg, a fait l’objet d’une perquisition intensive de plusieurs heures par les enquêteurs de la National Prosecuting Authority (NPA) et de sa direction des enquêtes (ID), affirmant que les allégations de corruption impliquant Mapisa-Nqakula faisaient l’objet d’une enquête.

Après son mandat de ministre de la Défense et des Anciens Combattants, elle a été nommée présidente de l’Assemblée nationale (AN) en août 2021. Lorsque les allégations de corruption ont fait surface en mars, Mapisa-Nqakula les a niées et s’est engagée à travailler avec le NPA. Elle a démissionné en avril. En plus de se présenter au commissariat de police de Lyttelton de Centurion et de remettre son passeport à la police, Mapisa-Nqakula a comparu devant le tribunal et a obtenu une caution de 50 000 rands, sa prochaine comparution devant le tribunal étant prévue pour juin.



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